À Gênes, Mauro Ghiglione participe à l'exposition "Théorèmes imaginaires" à la Villa Croce.


Du 21 novembre 2019 au 16 février 2020, le musée Villa Croce de Gênes accueille l'exposition Teoremi Immaginari (Théorèmes imaginaires) de l'artiste Mauro Ghiglione

Du 21 novembre 2019 au 16 février 2020, le musée d’art contemporain Villa Croce de Gênes accueillera l’exposition Teoremi Immaginari (Théorèmes imaginaires ) de l’artiste Mauro Ghiglione (Gênes, 1959), sous le commissariat d’Antonio d’Avossa.

L’exposition a été organisée en collaboration avec ledépartement de la culture de la municipalité de Gênes et UnimediaModern Contemporary Art di Caterina Gualco, avec le soutien de la banque FINECO et de la Clinica Montallegro, et sera ouverte jusqu’au 16 février 2020, du mardi au vendredi, de 14h00 à 18h00 - le samedi et le dimanche de 10h00 à 18h00.

Artiste d’origine conceptuelle, qui n’a jamais reculé devant les valeurs de la forme et de la matière, influencé par les expériences de l’Art Minimal et de l’Arte Povera, qui ont exclusivement déterminé certains de ses choix esthétiques, Ghiglione, comme le souligne Antonio d’Avossa dans le catalogue, compte parmi ses références récentes de nombreuses œuvres de Fabio Mauri, Vincenzo Agnetti, Franco Vaccari, Christian Boltanski et Joseph Kosuth.

La recherche que Mauro Ghiglione active depuis de nombreuses années dans sa pratique artistique est d’abord une réflexion sur la place et le rôle que joue l’image dans notre vision quotidienne et extraordinaire, puis sur l’apparition et la disparition de l’image elle-même, à la fois dans la “mémoire” et dans l’“oubli de la mémoire”. De ce point de vue, Ghiglione a toujours activé, dans ses formes d’exposition et ses caractéristiques stylistiques, un mode d’utilisation de l’image photographique qui modifie le sens de la vision non seulement du point de vue perceptif, mais surtout du point de vue intuitif, qui est le point réel à partir duquel l’image est toujours regardée. Par ce procédé singulier, l’artiste établit une véritable relation ou conversation entre l’ordre du visible et l’ordre du lisible, en définitive entre l’image et sa propre parole.

Le rapport à l’image photographique est essentiel, bien que maigre, et lui permet, d’une part, de poursuivre ses recherches sur les mécanismes mentaux qui sous-tendent la naissance de l’image elle-même et les raisons de son être, et, d’autre part, d’aborder des questions plus étroitement liées à une poétique de la contemporanéité. (Son œuvre Alteratamente sani réalisée sur le film d’Emidio Greco L’invenzione di Morel est célèbre).

Enfin, ses recherches linguistiques ne cachent pas le désir de soustraire la spécificité photographique de l’image afin d’aborder sa crise. Pour ce faire, l’artiste utilise la technologie pour produire des images, souvent en basse définition, avec la conscience claire et délibérée que le numérique a supplanté l’image, devenant lui-même un habitat.

Pour toute information, vous pouvez appeler le +39 010 580069, envoyer un courriel à info@museovillacroce.eu ou visiter le site officiel de Villa Croce.

Dans l’image : une œuvre de Mauro Ghiglione

Source : communiqué de presse

À Gênes, Mauro Ghiglione participe à l'exposition
À Gênes, Mauro Ghiglione participe à l'exposition "Théorèmes imaginaires" à la Villa Croce.


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