Ischia, l'art de la rue dénonce la pollution de la mer


Le centre urbain d'Ischia est envahi par le Poster Art de #SeaToLove Edition Street Art File Print : street art pour dénoncer la pollution des mers.

Jusqu’au 15 juillet 2020, le centre urbain d’Ischia est envahi par les œuvres d’art affiche de #SeaToLove Edition Street Art File Print, le projet d’art urbain à travers lequel l’objectif est de dénoncer la pollution des mers.

Dans les six municipalités de l’île, à savoir Casamicciola, Lacco Ameno, Serrara Fontana, Barano, Forio et Ischia Porto, les œuvres d’art affiche de six artistes (Qwerty, Haterisk, Antonino Perrotta alias Attorep, Annalisa Grassano, Samuele Vesuvio et Larva) ont été disséminées dans les espaces urbains.

Promue par la Ischia Street Art Gallery avec le soutien de l’Area Marina Protetta Regno di Nettuno (Aire Marine Protégée du Royaume de Neptune), qui lutte depuis des années pour la protection et la valorisation de la mer de l’île, Street Art File Print #SeaToLove entend dénoncer la pollution marine et l’ abus de contaminants, qui remplissent nos mers de déchets toxiques, à travers l’exposition d’affiches artistiques qui abordent des questions liées à la protection de l’environnement.

En outre, à l’intérieur de la Ischia Street Art Gallery, une exposition d’affiches est visible et accessible à tous pendant les heures d’ouverture de la galerie, rassemblant tous les projets envoyés par les artistes qui ont adhéré à l’initiative.

Qwerty a créé Keep your soul, qui veut signifier que le monde change quand les codes changent ; “Annego in questo mare plastico e artificiale. Let me fly” est le message de Haterisk. Le Poséidon d’Antonino Perrotta représente Poséidon protégeant son royaume envahi par les déchets et les poissons dissous se réfugient dans ses yeux. Êtes-vous innocent ? est l’œuvre d’Annalisa Grassano: la sirène, en s’intégrant au monde des hommes, n’évolue pas mais périt et la rencontre avec l’homme lui est fatale. Les pollueurs sont partout est la dénonciation de Samuele Vesuvio avec son œuvre Che tte Pòsseidon et les pisseurs de poison. Larva représentait un phoque qui s’étouffe en criant Je ne peux pas respirer ; Teisa, avec Empoisonnement et transformation, entend souligner la transformation humaine causée par l’empoisonnement aux déchets toxiques dans la Terra dei Fuochi (le visage qui fond avec des fumées vomies par la bouche). Contamination est le fruit de la collaboration artistico-poétique de raPoetry et Er Buio, qui s’interrogent sur l’avenir de la nature envahie par les déchets toxiques et radioactifs.

Ischia, l'art de la rue dénonce la pollution de la mer
Ischia, l'art de la rue dénonce la pollution de la mer


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