La frontière entre l’objet quotidien et l’objet d’art devient de plus en plus floue. Un exemple récent est la nouvelle extension de la Art Collection de Secrid, une société néerlandaise connue pour ses portefeuilles compacts et protecteurs. La marque annonce l’ajout de deux nouveaux modèles à la ligne qui transforme les chefs-d’œuvre de l’histoire de l’art en accessoires que l’on peut toujours porter sur soi.
Fondée sur une approche de production définie comme l’évolution industrielle, qui combine l’innovation, la durabilité et la production éthique, Secrid est spécialisée dans les portefeuilles de poche conçus pour répondre aux besoins de la vie contemporaine. La pièce maîtresse de ses créations est le Cardprotector, un système breveté en aluminium qui protège les cartes de crédit contre la flexion, la rupture et la lecture non autorisée. C’est à partir de cette structure que Secrid a développé le Miniwallet, un portefeuille compact pouvant contenir 6 + 4 cartes, des billets de banque et des reçus, qui est devenu au fil des ans le modèle phare de la marque. Il s’agit d’une véritable transposition matérielle du patrimoine artistique, reproduite avec une telle précision qu’elle met en évidence les moindres craquelures de la surface picturale originale. Le cuir utilisé est du veau italien, choisi pour sa douceur et sa durabilité, tandis que l’impression numérique utilisée permet un rendu fidèle des couleurs et des détails.
La collection s’enrichit de deux nouvelles variantes, toutes deux au prix de 89 euros. La première s’inspire d’une peinture hollandaise du XVIIe siècle : Vue de Haarlem avec champs blanchis de Jacob van Ruisdael. Cette œuvre, conservée à la pinacothèque Mauritshuis de La Haye, est un exemple emblématique de la peinture de paysage nordique du XVIIe siècle. Elle représente une vue aérienne de la ville de Haarlem, avec une grande partie du ciel animée par des nuages en mouvement et les champs typiques utilisés pour le blanchiment du lin, une activité commerciale centrale pour la ville à l’époque. L’interprétation de Secrid capture la profondeur atmosphérique de la peinture, avec une impression qui rend les variations tonales du ciel et l’articulation méticuleuse du paysage.
Le deuxième miniwallet présenté est dédié à une icône mondiale de l’art japonais : La Grande Vague de Kanagawa, signée par Katsushika Hokusai et conservée dans la version sélectionnée au Rijksmuseum d’Amsterdam. La célèbre gravure sur bois, qui fait partie de la série des Trente-six vues du mont Fuji, représente une vague menaçante qui semble sur le point de balayer trois bateaux, avec la silhouette du mont Fuji immobile à l’arrière-plan. La force dramatique de la scène, combinée à l’équilibre formel de la composition, a fait de cette image l’un des symboles les plus reconnaissables de l’art oriental. La reproduction appliquée par Secrid sur le portefeuille conserve son intensité et sa dynamique visuelle, avec des couleurs vives et des contours nets, offrant un contraste entre le mouvement de l’eau et le calme apparent du volcan.
Cette initiative s’inscrit dans une tendance de collaboration entre le design contemporain et les institutions muséales visant à explorer de nouvelles façons d’apprécier et de diffuser l’art à travers des objets communs. Secrid poursuit ainsi sa recherche d’un équilibre entre forme et utilité, sans renoncer à une réflexion sur la valeur de la culture matérielle. La présence de chefs-d’œuvre de la peinture en format de poche n’est pas seulement un choix esthétique, mais aussi une tentative de jeter un pont entre le passé et le présent, entre les musées et la vie quotidienne. Une manière de rendre l’art moins distant et plus intégré dans les gestes quotidiens.
Pour plus de détails sur les produits et une carte des revendeurs, visitez le site officiel de la marque : https://secrid.com/it-it.
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L'art dans la poche : Secrid ajoute deux chefs-d'œuvre à sa collection de portefeuilles |
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