De Léonard de Vinci à Maria Lai, de Giorgio Vasari à Pontormo : voici toutes les expositions aux Offices en 2018.


Les Offices font circuler la liste de toutes les expositions de 2018 : elles vont de Léonard de Vinci à Maria Lai, de Giorgio Vasari à Pontormo, de Pio Fedi à Elisabetta Sirani.

Les Galeries des Offices ont publié aujourd’hui la liste des expositions qu’elles accueilleront tout au long de l’année 2018, en plus de celles déjà ouvertes sur Roberto Capucci, Carlo Levi, le XVIIIe siècle et le dialogue entre l’Espagne et l’Italie. Il y aura un espace pour Elisabetta Sirani et Maria Lai, deux grandes artistes qui seront les protagonistes de la semaine du 8 mars, et de nouveau l’Alabardiere de Pontormo reviendra à Florence de Los Angeles, il y aura une exposition sur l’Islam dans la collection Médicis, nous verrons le Codex Leicester de Léonard de Vinci, une revue sur la relation entre Giorgio Vasari et les artistes de Romagne, une exposition monographique sur Pio Fedi et une exposition de tapisseries. Voici la liste complète :

Hommage à Carlo Levi : Narcisse et trois autoportraits
sous la direction de Claudio di Benedetto
Palais Pitti, Galerie d’art moderne
27 janvier - 21 avril 2018
Le 8 mars 2018, l’installation en hommage à Carlo Levi sera enrichie de deux œuvres supplémentaires de l’artiste à l’occasion de la dénomination des deux places adjacentes à la Piazza Pitti en l’honneur de Carlo Levi et d’Anna Maria Ichino. L’exposition et la dédicace rappellent le rôle de Levi et d’Ichino dans la lutte antifasciste, mais aussi la valeur évocatrice d’un lieu comme la Piazza Pitti et de la maison qui a servi de refuge à de nombreux antifascistes sur cette place. C’est sur la Piazza Pitti que Carlo Levi a écrit “Le Christ s’est arrêté à Eboli” et qu’Anna Maria Ichino était aux côtés de l’écrivain pour taper le manuscrit jour après jour.

Le XVIIIe siècle. Une sélection
sous la direction d’Alessandra Griffo
Palazzo Pitti, Sala delle Nicchie
7 février - 15 avril 2018
En hommage au 250e anniversaire de la mort de Canaletto, ses deux célèbres vues vénitiennes appartenant aux Offices sont de nouveau exposées après une longue absence et, flanquées de vues de Florence, Rome et Naples, elles alimentent le mythe inépuisable des villes italiennes privilégiées par les premiers voyageurs du Grand Tour. Juxtaposant des œuvres du XVIIIe siècle provenant des dépôts et des salles des étrangers de la Galerie des statues et des peintures, bientôt transformée, l’exposition temporaire du palais Pitti met également en lumière des chefs-d’œuvre de renommée internationale comme le portrait de la comtesse de Chinchón par Goya, s’attarde sur le goût de l’exotisme à la cour et jette un regard sur le thème plus bourgeois et intime de l’enfance et du jeu.

L’Espagne et l’Italie en dialogue. Comparaison des cultures dans l’Europe du XVIe siècle
édité par Marzia Faietti, Corinna T. Gallori, Tommaso Mozzati
Uffizi, Salle Magliabechiana
27 février - 27 mai 2018
Il s’agit de la plus grande enquête à ce jour consacrée à la riche collection de dessins espagnols conservée dans le Gabinetto dei Disegni e delle Stampe des Galeries des Offices. Elle met l’accent sur le dialogue entre les deux traditions figuratives (italienne et ibérique), en soulignant leurs contacts et leurs relations dans la période de pleine maturité de l’époque moderne, également favorisée depuis le XVIe siècle par la situation politique et les relations commerciales. L’exposition présente des feuilles d’une qualité extraordinaire et offre une nouvelle interprétation d’artistes tels que Alonso Berruguete, Francisco Pacheco, Patricio et Eugenio Cajés, Vicente Carducho, Romolo Cincinnato et Pompeo Leoni, pour n’en citer que quelques-uns. Afin de replacer pleinement les dessins dans leur contexte d’origine, l’exposition comprend également des objets de nature différente, tels que des sculptures, des peintures, des exemples d’orfèvrerie et d’arts appliqués, dans le but d’établir des comparaisons inspirées par un critère pluridisciplinaire.

Peindre et dessiner “comme un grand maître”
Le talent d’Elisabetta Sirani (Bologne, 1638-1665)

sous la direction de Roberta Aliventi et Laura Da Rin Bettina
Offices, salle Edoardo Detti et salle de la Cheminée
6 mars - 10 juin 2018
Elisabetta Sirani, dont Carlo Cesare Malvasia se souvenait quelques années après sa mort prématurée pour la “grâce sans effort, et la grâce sans affectation” de ses créations, était également célèbre parmi ses contemporains pour sa beauté particulière qui semblait être une métaphore de la beauté de son art. La personnalité artistique de la peintre bolonaise est explorée à travers une sélection raisonnée de 35 œuvres provenant de collections publiques et privées italiennes, ainsi que de l’Autoportrait comme allégorie de la peinture du Musée Pouchkine de Moscou.

Maria Lai
Le fil et l’infini

sous la direction d’Elena Pontiggia
Palazzo Pitti, Andito degli Angiolini
8 mars - 3 juin 2018
À travers le thème du fil, Maria Lai associe la tradition de la civilisation sarde aux langages de l’art contemporain. En 1967, l’artiste crée Oggetto-paesaggio (Paysage-objet), une sculpture-installation qui rappelle la structure d’un métier à tisser, mais aussi Pascali et l’art conceptuel, du Nouveau Réalisme à l’Arte Povera. Au début des années 1970, il compose Sewn Canvases, où il ne peint pas mais coud. Il rappelle toujours l’artisanat sarde, mais aussi Burri, Scarpitta, Fontana et Manzoni, qui, au lieu de peindre sur la toile, travaillent directement sur celle-ci et la façonnent. Toujours dans les années 1970, il coud sur le tissu une écriture composée de signes et d’enchevêtrements indéchiffrables, qu’il rassemblera plus tard dans des livres, dont Il mare ha bisogno di fichi (La mer a besoin de figues), inspiré par l’inondation de Florence. Ses pages contiennent toujours l’écho des draps cousus à la maison, mais elles se rapportent également à la poésie visuelle et aux livres d’artiste. En bref, l’art de Maria Lai est un aller-retour entre la Sardaigne et l’Europe, et l’exposition en documente les résultats, en commençant par l’Oggetto-paesaggio de 1967 et en explorant les toiles cousues, les écrits, les géographies (visions de l’infini du cosmos, cousues sur toile : “L’art m’a donné l’angoisse de l’infini”, a déclaré Maria Lai) et les livres.

La Hallebarde de retour à Florence
Rencontres miraculeuses : Pontormo du dessin à la peinture

sous la direction de Bruce Edelstein et David Gasparotto
Palais Pitti, Sala delle Nicchie
8 mai - 29 juillet 2018
L’exposition, réalisée en collaboration avec le J. Paul Getty Museum de Los Angeles et la Pierpont Morgan Library de New York, est une précieuse sélection d’œuvres de la maturité de Pontormo, exécutées à la fin des années 1620. Pour l’occasion, l’Alabardiere, aujourd’hui conservé au Getty Museum, revient à Florence - après plus de vingt ans - et sera comparé au dessin préparatoire conservé aux Offices et au magnifique Portrait de Carlo Neroni provenant d’une collection privée et récemment découvert. Le côté religieux de la production de Pontormo est représenté par la splendide Visitation de Carmignano, également exposée pour la première fois avec la belle étude au crayon noir des Offices, équarrie pour être transférée sur le panneau.

Travelling with style : Driving cars, being guided by fashion curated by Caterina Chiarelli, Simonella Condemi and Alessandra Griffo
Palazzo Pitti, Musée de la mode et du costume
5 juin - 2 décembre 2018
L’élégance et la “signature” caractérisent les voitures, “œuvres d’art en mouvement” et compagnons de voyage de tous ceux qui se laissent guider par les dictats de la mode, même lorsqu’ils s’habillent. La voiture est en effet un symbole de statut social, tout comme la robe, et, bonnes ou mauvaises, elles sont toutes deux la création d’un designer/styliste. Une exposition originale et multidisciplinaire, dans laquelle les photographies historiques des Archives Locchi, qui documentent la fascination de l’automobile au cours du XXe siècle, seront commentées par des vêtements à porter sur la route, provenant de la collection du Museo della Moda e del Costume : des vêtements alternatifs, c’est-à-dire plus pratiques, avec des couleurs et des tissus plus adaptés, pour un monde lancé à toute allure, avec style et élégance.

Islam e/a Florence
Collectionner des Médicis au XIXe siècle

sous la direction de Giovanni Curatola
Uffizi, Aula Magliabechiana, et Museo Nazionale del Bargello
19 juin - 23 septembre 2018
Entre le XVe et le début du XVIIe siècle, il existe de nombreux exemples d’art islamique collectés à Florence : l’objectif principal de cette exposition est d’explorer l’échange ostensible d’œuvres qui a eu lieu entre la capitale de la Renaissance et le monde islamique oriental, avec une référence particulière au bassin méditerranéen. Le point fort de l’exposition sera la variété et la qualité des types et des œuvres exposées : tapis, textiles, matériaux en bois, en céramique et en verre, métaux, ivoires, pierres semi-précieuses et manuscrits. Des objets islamiques provenant des collections grand-ducales côtoieront des œuvres de très haut niveau provenant de collections italiennes et étrangères, ainsi qu’une section consacrée aux influences des importations orientales sur les ateliers et les manufactures italiens. Le parcours de l’exposition sera divisé en deux lieux : les Offices, avec une dominante historique sur les XVe-XVIIe siècles, et le Bargello, qui s’intéressera de près au “renouveau” de la collection d’art islamique au tournant des XIXe et XXe siècles, illustré par des antiquaires et collectionneurs importants et emblématiques : Bardini, Carrand, Franchetti et Stibbert.

Fritz Koenig à Florence
Rétrospective (1924 - 2017)

sous la direction de Eike D. Schmidt Offices, Galerie des statues et des peintures et Jardins Boboli
21 juin - 7 octobre 2018
Fritz König, l’un des plus grands sculpteurs allemands du XXe siècle, est surtout connu pour sa grande “sphère cariatide”, située entre les tours jumelles de New York et qui a miraculeusement survécu à leur effondrement lors de l’attentat du 11 septembre 2001. Disparu en février 2017 à l’âge de 93 ans, l’artiste avait toujours évité les expositions, les foires d’art et le marché de l’art : c’est pourquoi celle de Florentine est la première grande rétrospective qui lui est consacrée, et elle retrace depuis les années 1950 les principaux thèmes de son œuvre, souvent inspirée par l’art italien et l’antiquité. La solitude, l’extase du couple, le cheval, les mouvements de masse et l’Holocauste sont au cœur de la poétique de König. L’exposition comprend des dessins, des maquettes et des sculptures de petit et moyen format (aux Offices), dont des maquettes pour les monuments d’extermination de Mauthausen et d’autres non réalisées, ainsi que des sculptures monumentales en bronze dans les jardins de Boboli.

L’équitation à travers le temps. L’art de l’équitation de l’Antiquité au Moyen Âge
sous la direction de Lorenza Camin et Fabrizio Paolucci
Limonaia Grande, jardins de Boboli
26 juin - 14 octobre 2018
L’exposition vise à attirer l’attention du public sur le lien étroit qui existe entre l’homme et le cheval depuis la préhistoire sous divers aspects : mythologie, vie quotidienne, sport, activité militaire, funéraire et rituel. Depuis les premières représentations sur les parois des grottes préhistoriques jusqu’à l’utilisation de l’étrier au Moyen Âge, le cheval représente pour l’homme un ami, un signe de prestige social, un symbole de pouvoir politique. Parallèlement, le cheval est utilisé dans la guerre, comme moyen de transport et employé dans les événements religieux et les spectacles sportifs. Les mythes liés au cheval sont nombreux dans toutes les cultures et témoignent de la relation préférentielle et de l’attirance que l’homme a toujours ressentie pour cet animal, symbole de force, d’élégance, de puissance. L’exposition illustrera cette relation millénaire entre l’homme et l’animal grâce à une variété articulée d’objets provenant des principaux musées archéologiques italiens et étrangers et répartis chronologiquement entre le 10e siècle avant J.-C. et le 15e siècle après J.-C.. Il s’agit de statues, d’urnes, de reliefs, de vases, de terres cuites et de harnais qui permettront au visiteur de retracer l’évolution de la “technologie” liée à l’utilisation du cheval, qui a connu une véritable révolution au début du Moyen-Âge.

Le Codex de Leicester de Léonard de Vinci. Le microscope à eau de la nature
sous la direction de Paolo Galluzzi
Uffizi, Salle Magliabechiana
29 octobre 2018 - 20 janvier 2019
Le Codex Leicester de Léonard de Vinci vient à Florence comme un avant-goût de grandeur absolue dans le contexte des célébrations Leonardo qui auront lieu dans le monde entier en 2019 à l’occasion du 500e anniversaire de la mort de l’une des figures emblématiques de l’histoire de l’humanité. Les pages du Codex sont exposées dans leur forme originale et rendues entièrement visibles grâce à une technologie totalement innovante. Les dessins et les théories du génie de Vinci sont explorés dans une série d’études scientifiques qui démontrent leur bouleversante pertinence. L’exposition est réalisée par les Galeries des Offices et le Museo Galileo, avec la contribution de la Fondazione Cassa di Risparmio di Firenze.

Autour du viol de Polyxena. Pio Fedi, le sculpteur classique dans les années de Florence Capitale
Sous la direction de Simonella Condemi et Elena Marconi
Uffizi, Sala del Camino
25 novembre 2018 - 24 février 2019
La nouvelle acquisition d’une esquisse pour la statue monumentale de la Loggia dei Lanzi est l’occasion de documenter les recherches approfondies menées par les artistes sur les textes classiques également à l’époque de Florence Capitale et permet également de faire connaître d’autres œuvres de Pio Fedi déjà conservées dans les collections des Galeries des Offices.

Fragile Treasures of the Princes
Les routes de la porcelaine entre Vienne et Florence

sous la direction de Rita Balleri, Andreina d’Agliano, Claudia Lehner-Jobst
Palais Pitti, Sala del Fiorino
13 novembre 2018 - 10 mars 2019
Pour célébrer la magnificence de la porcelaine sous le Grand-Duché de Lorraine, les salles de la Reggia di Palazzo Pitti brilleront à nouveau dans un dialogue constant entre les arts. Le déclin de la dynastie des Médicis entraîne une nouvelle orientation du goût, à laquelle adhère le marquis Carlo Ginori, envoyé à Vienne pour rendre hommage à François Étienne de Lorraine, futur empereur d’Autriche et successeur du Grand-Duché de Toscane. Fasciné par la porcelaine précieuse et blanche comme neige travaillée dans la manufacture viennoise fondée en 1718 par Claudius Innocentius Du Paquier, le marquis fonde en 1737 sa propre manufacture dans les environs de Florence. Grâce à d’importants prêts internationaux et à la collaboration avec les collections princières du Liechtenstein à Vaduz-Vienne, partenaire de l’exposition, les œuvres sélectionnées pour l’exposition - porcelaines, mais aussi peintures, etc.porcelaine, mais aussi peintures, sculptures, commandes en pierre dure, cires, ivoires, cristaux, tapisseries et gravures - révèleront l’attention portée à l’exotisme, la passion antiquaire et l’intérêt naturaliste caractéristiques du goût international du XVIIIe siècle exprimé par les manufactures de Ginori et de Vienne.

Giorgio Vasari et les artistes d’Émilie et de Romagne. Un rapport controversé
Sous la direction de Michele Grasso
Offices, Salle Edoardo Detti
20 novembre 2018 - janvier 2019
L’exposition s’ouvre 450 ans après la publication des Vies de Giorgio Vasari éditées par Giunti en 1568. À partir d’une lecture du texte de Vasari, le rapport complexe et controversé que l’artiste d’Arezzo a entrelacé avec les langages artistiques des maîtres d’Émilie et de Romagne sera abordé. À côté d’une vaste sélection d’œuvres graphiques de Vasari, seront exposés de précieux dessins de Parmigianino, un artiste qui l’a profondément influencé, surtout pendant son séjour à Bologne en 1539, et qui a été le protagoniste de l’une de ses Vies les plus significatives. Les relations de Vasari avec les artistes d’Émilie et de Romagne, en particulier ceux qu’il rencontre à Bologne, sont cependant assez tendues. De profondes divergences d’idéaux et de pratiques artistiques les divisaient. Parmi les artistes représentés dans l’exposition, Prospero Fontana est l’artiste qui symbolise cette relation renouvelée : ami et admirateur de l’artiste d’Arezzo, il devient aussi son collaborateur et n’hésite pas à traduire en peinture certaines de ses inventions graphiques dans des lieux politiquement et culturellement stratégiques de la ville de Bologne.

Le Chariot d’or
sous la direction d’Alessandra Griffo et Maria Matilde Simari
Palazzo Pitti, Sala delle Nicchie
11 décembre 2018 - 17 mars 2019
Le carnaval baroque, ses festivités, ses chars masqués et symboliques : l’exposition se concentre sur un événement historique précis, la somptueuse scénographie organisée par le prince Giovan Battista Borghese pour le carnaval romain de 1664, documentée par le tableau de Giovanni Paolo Schor, collaborateur de Pietro da Cortona et de Gian Lorenzo Bernini. L’œuvre de composition monumentale a été acquise en 2018 par les Galeries des Offices et est destinée au Museo delle Carrozze, qui ouvrira bientôt ses portes dans le Rondò di Bacco du Palazzo Pitti. En attendant, l’exposition étudie la signification et le caractère spectaculaire du somptueux char doré, protagoniste exubérant de cette fête baroque décrite avec un souci du détail infinitésimal et virtuose, et aborde le thème du carnaval de l’époque et ses différentes déclinaisons.

Trame fiorentine
Tapisseries des Médicis pour l’histoire de la ville

sous la direction d’Alessandra Griffo et Lucia Meoni
Palais Pitti, Salle blanche
18 décembre 2018 - 17 février 2019
Les trois tapisseries intitulées Florentine Stories seront exposées au terme d’une première phase délicate de restauration qui permettra d’admirer dans leur intégralité, après des siècles, la prestigieuse série destinée à l’origine à la Sala di Gualdrada Berti du Palazzo Vecchio. Tissées par la manufacture des Médicis en 1564 sur des cartons de Federico Lamberto Sustris, les toiles représentent La Consécration du Baptistère, Les Goths assiègent Fiesole et La Ligue entre Florence et Fiesole, dans un choix thématique rare qui s’est concentré sur des épisodes de la période antique de la ville. L’exposition sera l’occasion de comparer les toiles avec les dessins préparatoires, dûment agrandis sur support numérique, et d’examiner en détail la pratique d’exécution, ce qui est essentiel pour définir la conclusion du travail de conservation.

Dans l’image, un détail de la Visitation de Pontormo.

De Léonard de Vinci à Maria Lai, de Giorgio Vasari à Pontormo : voici toutes les expositions aux Offices en 2018.
De Léonard de Vinci à Maria Lai, de Giorgio Vasari à Pontormo : voici toutes les expositions aux Offices en 2018.


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